Le «développement des capacités» des organisations locales de la société civile (OSC) en Afrique subsaharienne est devenu une stratégie clé parmi les principaux donateurs internationaux et les organisations intermédiaires internationales. Cela soulève des questions cruciales quant à savoir qui a le pouvoir de tracer et de soutenir la voie d’une OSC vers le renforcement des capacités – et quels rôles les différents acteurs peuvent ou devraient jouer pour faire progresser la vitalité organisationnelle du secteur des OSC africaines.
Dans cette conversation stimulante, coparrainée par le Programme de Planification et d’Evaluation Aspen de l’Institut Aspen et la Fondation William et Flora Hewlett, quatre dirigeants expérimentés des OSC discutent la dynamique de pouvoir entre les bailleurs de fonds, les organisations non gouvernementales internationales (ONGI) basées au Nord global et les OSC fondées et basées en Afrique subsaharienne.
Notre discussion avec les panélistes s’est inspirée en partie des conclusions du rapport récent de l’Aspen Institute évaluant la stratégie de la Fondation Hewlett pour soutenir le plaidoyer local en Afrique subsaharienne. Le rapport résume les principales conclusions et recommandations sur le renforcement des capacités et les pratiques de partage du pouvoir. Il fait partie d’un processus d’apprentissage et d’évaluation de cinq ans qui se terminera en 2021. Ce bref PowerPoint résume les principales conclusions sur les pratiques de partage du pouvoir et de renforcement des capacités.
Les panelistes:
- Stigmata Tenga, Executive Director, Africa Philanthropy Network
- Julius Mbeya, Managing Director, Lwala Community Alliance
- Fatime Faye, African Feminist Forum
- Coumba Toure, Co-Coordinator, Africans Rising